Quelle aurait été ma réaction à l'époque si j'étais arrivé face à face avec Marie‑ Madeleine Jarret de Verchères sortant, en toute quiétude, de la back-house en rabaissant sa robe? C’était peut-être une très jolie fille, aux seins déjà bien ronds et fermes, aux cuisses fortes.M. Le Moine écrit pourtant, mignonnement:
«Dans Mlle. de Verchères, il nous faut admirer une brave jeune fille d’un courage qu’on ne rencontre qu’à l’âge mûr ; une intrépidité mâle battant dans un cœur de quatorze printemps et augmentant avec les années.»
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