Les yeux du psychotique «ressemblent à un miroir opaque : tout s’y engouffre et rien ne s’y réfléchit, ils sont ouverts sur le royaume des ombres», tandis que le regard du névrosé «réfléchit ce que les yeux voient : nous lisons dans les yeux.»
Denis Vasse. L'ombilic et la voix: deux enfants en analyse.
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