«La mort reste une œuvre utile à la nature», pensait Marc-Aurèle. Me suiciderais-je comme Yasunari Kawabata, comme Bernard Réquichot, comme Henry de Montherlant, comme Vladimir Maïakovski, comme Jean-François Boseille ? Même sur une base volontaire, la mort demeure — de meurt ? — un mystère. Faut-il alors se hâter de vivre pour ne pas perdre, avant de mourir, «la compréhension des questions et le pouvoir d’y prêter attention» ?
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