mardi 19 février 2008

Ça crève les yeux - L’épitaphe Villon

La pluye nous a debuez et lavez,
Et le soleil dessechiez et noircis ;
Pies, corbeaulx, nous ont les yeux cavez,
Et arrachié la barbe et les sourcis.

François Villon, La ballade des pendus (extrait).

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